imperfections et malentendus

la tempérance
la voix est libre,
libre d'être autre chose
en aucune substance
mon oreille est instinctive
elle me sort du jeu de la matrice
une jouissance qui se sent
dans un ronronnement
l'air se joue dans mon corps en entier
il fait entrer à ce dont je veux partir
Tout vient après
je n'use pas des mots
je ne jouis pas de l'usage
je n'use pas du bien
je n'use pas des sons
J'en jouis !
A d'autres chairs
à d'autres mythes
je suis aussi de ceux là
un étayage dans l'imparfait
et la vérité se dit
et celle qui en décide
C'est un décret du leurre
un inoui de la vérité d'or
et qui dort
Et comme les choses prennent un sens
et se rangent
la pensée ici se représente
en introduction aux mots
et aux maux
que le corps lui fait de façon imbécile
Et l'image du rêve
Un imaginaire qui se pose
et qui crache ce quelque chose
une vérité
qui me rend gorge
au coincement du symbolique
il y a a ce noeud aussi
qui émerge comme un discours
entre l'imaginaire et le réel
et un discours à la parole s'opère
une erre nouvelle
une perception
une topologie qui se définit
l'intention est invalide
et je vous suis
les chose se placent au pas du monde
le charroi du réel
y met l'entrave
et le réel du symptome guérit
Le désir du réveil m'agite
Un gadget se gagne à ma main
Un symptome
un phallus à la jouissance
et je reste à coté
et bien à coté de l'autre aussi
Un lien
Un noued
une décharge à l'imaginaire
entre le réel et la pensée
un distinct
un outil
une défaillance utile
un étrange dans un sens commun
un glissement à la foi
dans une croyance perçue
en perpective
dans ma propre croyance
une foi nouvelle
la mienne
et ces gadgets là m'animent
et se rangent dans leur sens
Un étayage dans l'imparfait
Le jeu de la matrice
qui s'agrée à mon oreille
un utile à soi
une jouissance de l'ego
et qui me sert
à moi même
et au monde
Ce qui rentre
est ce dont je dois partir
Un jeu peut être
ou bien une rêgle
je pars de là
et les mythes de chairs
liés à d'autre
placés avec et hors de moi même
me donne jouissance en la vie
à l' imparfait
Au songe
Et aux plaisirs qui se rangent...

Any Troche

...Et la pensée nous rend crétine car elle agite le grelot du sens...
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